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Cher Monsieur Shapira,
Vous couvrez avec votre art ce qu’abrite le
feu des idées.
Merci beaucoup,
Franz Maximilian Rasche, Vienne |
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Cher Monsieur Shapira,
J’ai trouvé votre boutique quand je me
promenais à Vienne lorsque je vu une petite vitrine modeste.
Je sonnai à la porte auprès de la vitrine et c’était le commencement
de mon aventure du plaisir secret.
La vitre me menait dans le pays des merveilles : des panamas d’une
qualité incroyablement haute, du feutre justement correct et de la
soie tissée rare dans des couleurs divers.
Dans cet atelier-boutique, la qualité que nous estimions disparue il
y a des années, est encore vivante.
Ca c’est la raison pour laquelle je viens ici de l’Extrême-Orient et
j’en réjouis une joie spéciale.
À présent, j’ai deux Hombourgs dans mon armoire et les deux sont de
bons amis : L’un d’entre eux est gris, fait d’un feutre justement
correcte et l’autre est un panama d’une qualité splendide.
Meilleures salutations,
Mitsuo Fujiwara, Japon
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Cher Monsieur Shapira,
Voire votre poste de travail et faire votre
connaissance m’a procuré un grand plaisir.
Ce fut un aperçu fascinant de la tradition et de la mode que
j’apprécie beaucoup.
Meilleurs vœux,
Antony Ford
Ambassadeur du Royaume-Uni, Vienne |
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Peter Sengl
"Ustensile servant à pointer le texte durant la lecture de la Thora
(Petersburg 1826)
pour s. Y. SHAPIRA. P. Sengl. Vienne, 30/01/01. Je me réjouis
toujours à me promener avec votre chapeau. Cordialement, Peter Sengl"
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Cher Monsieur Shapira,
Je ne me souviens guère du temps quand je me
trouvais à la recherche d’un chapeau de paille correspondant à mon
attente.
(…) jusqu’à ce que je passai devant la vitrine de Chapeaux Szászi
presque sceptiquement.
Et un rêve enterré devenait vraie possibilité et finalement même
réalité.
Vous m’enseigniez ce qu’importe et comment il faut choisir – vous
créiez une vraie œuvre d’art que je porte dans l’été avec joie et
respect.
Vous êtes un vrai maître !
Vous présentez l’art du chapelier comme un art vivant.
Je vous en sais gré et vous transmets tous mes vœux les plus
sincères,
Monsieur Otto Pfersmann, professeur
d’université
Directeur du Centre de Droit Public Comparé, Paris
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